J'entendais le bruit de leurs pas, j'entendais le bruit de leurs mains, je venais d'oublier demain, et espérait ne plus voir se lever le soleil, j'aimais la nuit. J'aimais l'osbcurité, comme si je voulais vivre non dans l'obscurantisme, mais dans la réalité palpable de leurs politiques, je voulais la sentir, réelle, présente, que cette illusion se matérialise, que cette désinformation s'affirme.
Je sentais le buit de leurs pas, et entendais leurs mains ramper le long du couloir.
Sun Tzu dit : La guerre est d’une importance vitale pour l’´Etat. (L'art de la guerre.)
La première ligne de ce livre, ainsi commence ce livre. N'ont-ils pas confondu Etat et Gouvernement, non, c'est plus séduissant de dire qu'il est fondamental pour nous, l'état de participer à la guerre pour notre survie, mais seul le gouvernement y trouve un profit, quand la nation perds ses pères, pleure ses mères, enterre ses enfants...
Souvent je pouvais constater qu'on amalgamait état et gouvernement, c'était deux choses bien distinctes, mais dans un soucis de communication politique, visant à nous reunir, nous ne faisions qu'un dans ces cas-là. Lorsque ça les arrangeait. Et quand il s'agissait de partager les richesses accumulées, c'est étrange comme nous devenions des étrangers, l'état d'un coté et son gouvernement de l'autre.
Si les recettes de la TVA ( plus de 50% du chiffre d'affaire anuel du gouvernement) servait à la nation ça se verrait, mais pour l'instant si Chirac choisi de vivre à St Germain des Prés, et pas aux Prévoyants à Stains, c'est qu'il y a une raison.
J'entendais sans écouter, espérant que les habitudes s'évanouissent comme elles étaient venues, sans bruit. Ils avaient fait des choix, préferant à la nation, les investissements que les multinationales injectaient dans leurs chiffres d'affaire. Nous étions écartés, en silence, de leurs vies, à chaque nouvelle élection c'était la même chose, avant, des mots, trop beau, des rêves, on chavirait, quand on entendait: on va baisser les impôts, et ce n'était pas sans contre-partie, mais ça ils se gardaient bien de le dire, qu'ils allaient augmenter la TVA. Je pouvais encore entendre Sofiane le préciser, quand Sarkozy allait être en phase d'être introniser. C'était toujours des deceptions au moment où ils arrivaient derrière la ligne d'arrivée, le ruban qui ornait leur trois-pièce Armani sur mesure. C'était décévant, au début on était tout pour eux, cette sensation d'être si important, dans leurs mots, leurs regards, nous étions les plus beaux, tous ces élécteurs, toutes ces voix, c'est comme ça qu'ils nous rendait coupable après les éléctions, d'avoir fait le mauvais choix. Seulement la majorité était, ou contrainte de faire partie de la majorité car elle se retrouvait acculée, et le reste, qui n'avait pas voté était en rien coupable d'avoir sa donné sa voix à ce type. Donner sa voix, c'est intérréssant comme expression, parce ce type, là qui dort à l'Elyssée, est-ce qu'il dit vraiment ce que nous aurions dit, si c'était nous qui dormions à l'Elyssée, et de quel droit dormait-il à l'Elyssée quand une partie de sa nation dormait sous un pont, dans un HLM, en location, ou payait des taxes fonciéres? Alors nous qui étions en pleine campagne électorale choyés, devenions les seuls coupables d'une politique révélant, un autre coté de sa vraie nature, elle n'allait pas se révéler entiérement mais était obligée de se dévoiler un peu, mais ce n'était pas de la faute du gouvernement, non, c'était de la faute de l'ancien gouvernement, de la nation, mais le président était intouchable, irresponsabilisable de la politique qu'il allait mener puisqu'il devait réparer celle d'avant. C'était bien de changer de président souvent, ça permettait au suivant de dire ce n'est pas de ma faute. Et nous ne voulions plus un président qui reste longtemps, nous avions peur, au final, économiquement c'est pareil, parce que derrière lui c'est toujours les multinationales qui conseillent les décisions politiques. Et Puis d'avoir un même président ou un différent tout les 5 ans maintenant, ça allait changer quoi? Nous deveions pas aussi instable que ces changement de PDG, dans nos rapports? nous calquant à ce modèle. Et nous qui étions des pays importateurs, de moins en moins exportateur, n'étions-nous pas en train de consommer des présidents comme une mode qui change tout les trois mois? On regarde un pays exportateur comme le Japon, ils ne changent pas de gouvernement tout les trente-six du mois.
Quoiqu'il en soit les présidents privilégiaient non la nation, mais les intérêts des multinnationales, j'ai du mal à digérer ça, et je ne pense pas être la seule, mais que pouvions-nous faire?
Des ONG existaient, mais elles étaient plus là pour faire bonne figure que pour réellement changer quelque chose, elles étaient là histoire de dire: " nous savons que ça va mal, nous tentons de faire quelque chose". Tout visait à déresponsabiliser les auteurs de cet agencement politque désastreux, ambiance: "on y peut rien, c'est comme ça, on essaye de faire quelque chose, mais ça fonctionne pas". Mais c'est normal que ça fonctionne pas, ça vous arrangerait pas si ça fonctionnait, l'un vendrait plus de pétrole, l'autre pourrait pas écouler son stock d'or et de diamant... Alors ceux qui voudrait s'implanter, avec des énergies nouvelles, peuvent pas, parce qu'ils pésent pas assez pour lutter. Et si vraiment c'était plus rentable pour Rockeffeler de vendre des énergies plus écologiques il l'aurait dejà fait, je pense que le prix du pétrole augmente non pas parcequ'il y en a plus, mais parce que petit à petit il nous à rendu dépendant de ce produit.
Et petit à petit après l'investiture à ses grandes fonctions de chef d'état, donc d'entreprise, Monsieur le président, s'éloignait petit-à-petit de sa nation, il ne lui parlait pas autant qu'avant son élection, de toute façon il avait intérêt à pas trop la ramener parceque tout le monde le detestait, sauf ses amis qu'il invitait à venir manger à l'Elysée, où ceux qu'il rencontre lors de voyages "d'affaire d'état", tout cela bien sur aux frais de la princesse, alors qu'il refusait d'augmenter le SMIC, ou même d'arreter de le taxer ( ce serait dejà une bien bonne idée si le gouvernement taxait les salaires à partir de 2000 € et laissait les salaires inférieur à ce chiffre tranquille), que sa nation puisse pas aller en vacance il s'en fichait, ce qu'il voulait c'était serrer la main d'Opeinheimer, et de la Reine Elisabeth.
[D'ailleurs en parlant de taxe, ce n'est pas l'état qui taxe ces salaires, comme je viens de l'écrire c'est le gouvernement, je ne sais pas si l'état souhaiterai ça pour lui même, dejà je sais qu'il n'en profite pas, et ensuite si vraiment il voudrait que ces salaires bas soit maintenu ainsi. Je reviendrais sur ce sujet plus tard.]
Ils avaient fait le choix dans leur système d'éligibilité qu'ils nous ont imposé, de ne pas se soucier que la totalité de la nation soit présente le jour de l'accession au pouvoir suprême de l'état. Alors comment entamerions-nous ensemble ce nouveau mandat? De toute façon, ce chiffre manquant passait à la trappe des coûts irrécupérables, et n'était pas très important que la totalité de la nation soit satisfaite de son nouveau président. Ceux qui avait voté serait blammés, ceux qui n'avait pas voté le serait aussi, et de toute façon ce qui est fait est fait, on ne peut plus rien faire jusqu'au prochain mandat. Mais c'est pas normal, on devrait avoir le droit de changer de président quand on veut, si celui-ci nous à trahi, nous à menti ( vu que de toute façon on le savait d'avance qu'il pouvait pas nous dire la vérité mais on y a cru, et puis le système fait que l'on peut pas faire autrement, et comme le président le sait, le président en joue).
JE SUIS POUR QU'ON PUISSE CHANGER DE PRESIDENT EN PLEIN MANDAT, COMME çA ON POURRA ETRE PLUS SUR D'AVOIR UNE REELLE POLITIQUE VALABLE.
Ce plan montrait bien que nous serions evincé des décisions politiques à venir. Ils avaient pas envie de prendre en compte notre avis, cette relation gouvernement/état était à sens unique. On était dans une impasse. Ils donnaient ce qu'ils avaient envie de donner, restant sourds à nos réelles attentes.